Be on the surface of the worlds’ mirror

Être à la surface du miroir des mondes, où l’eau et l’horizon sont à la verticale… A la verticale de quoi ? Point de gravité, point de logique dans cet autre monde qu’est le grand miroir.

 

En voilà une idée farfelue ! Mettre l’eau à la verticale ! Et pourquoi pas l’horizon tant qu’on y ait ?

Mettre le monde à la verticale.

De toute manière, il n’y a que l’imaginaire qui puisse être autant retourné. Il est sans haut et sans bas, sans nord et sans sud, sans horizontal et sans vertical. Il est sans logique. En fait tout y est possible.

Be on the surface of the worlds’ mirror est l’association de deux photographies. La partie sous l’eau a été faite dans une piscine, tandis que le ciel a été pris lors d’un de mes voyages en avion. Si je n’avais pas crashé mon disque dur externe et mon PC en même temps (à une journée près) j’aurais pu vous montrez les deux clichés d’origine. Mais ce n’est que partie remise ! Pour le prochain photomontage j’essaierais de le faire !

 

Be on the surface of the worlds’ mirror

Bras tendus comme un éventail, j’avance dans cette eau turquoise. J’ai enfin atteint la surface. C’est étrange, comme tout est désormais à la verticale.

Un pas de plus et je serais de l’autre côté… De retour de ce côté-ci du miroir.

 

« Si le monde n’a absolument aucun sens, qui nous empêche d’en inventer un ? » – Lewis Carroll (Alice aux Pays des Merveilles).

 

De l’autre côté (dans le monde réel) :
Assistante : Frédéric M.

 

 

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